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La politique s’invite où le chef de ce qui reste de l’état voulait qu’elle disparaisse !
On reste pantois devant l'incurie du patron de la SNCF et des ministres des transports et de l'intérieur qui ont montré leur incompétence notoire pour anticiper et contrecarrer ce genre de problème, sinon hautement prévisible, du moins envisageable.
Alors, de deux choses l’une : ou bien ces gens ne connaissent rien à rien à l'exploitation ferroviaire ou bien ils ont joué la politique du risque calculé... Ou alors, ce qui serait ubuesque mais possible connaissant les énergumènes qui nous dirigent, les deux !!!
N’'importe quel cheminot connait l'importance des lieux stratégiques de l'entreprise et sait que, dans les moments pour le moins curieux que nous traversons, c'est bien là qu'il faut porter la surveillance 24/24.
Eh bien EUX NON... NIBE, QUE DALLE, RIEN, NADA... Et les voilà qui pleurnichent, EUX qui sont pourtant les premiers responsables de la situation :
"C'est la France qu'on attaque" hurlent-ils à l'unisson... Pauvres, pauvres, pauvres de nous...Dirigés par des virus capitalistes.
Comment en arrive-t-on là ? Comment sont contrôlées les entreprises qui bossent pour la SNCF ? Qui peut se glisser dans le système pour finir par en annihiler les points névralgiques avec tant de facilité ?
Autant de points auxquels devront répondre les responsables de ce scandale.
Une chose est certaine : la politique d’abandon des services publics depuis des décennies permet aujourd’hui de telles aberrations. Et ce n’est bien sûr pas « la faute à pas de chance » … C’est bien la gestion pensée, approuvée et signée par LES pouvoirs successifs qui en est la vectrice. L’ordonnatrice.
Cette administration coupable et dangereuse n’est plus tolérable. Elle laisse grande ouverte la porte à tous les errements, à toutes les catastrophes aussi.
Et n’oublions pas que hormis les périodes spéciales comme les jeux olympiques, c’est au quotidien la vie de millions d’usagers qui est impactée par l’impéritie de gestion des « génies » du rail, mais aussi de ceux responsables politiques des hôpitaux, de l’énergie, de l’enseignement, de l’eau etc…Bref : les vrais casseurs !
UN AUTRE SYSTEME EST POSSIBLE...ET CE N'EST PAS LE CAPITALISME.
Fraternellement,
Didier.
Vendredi 26 juillet 2024. 13 :00
Ps : je rappelle que je m’exprime ici à titre personnel et que ces lignes ne reflètent pour l’instant en aucun cas les positions respectives de la CGT ni du PCF, organisations auxquelles j’appartiens.