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Le coup de gueule, bien justifié, d'un de nos camarades:
"Ceux qui bouffent à tous les râteliers des "chaînes info" repassent en continu les images horribles des différentes agressions. Plus c'est gore, plus ça marche. Ces gens pourris vivent, je dis bien VIVENT, du meurtre, de l'indicible et de l'inénarrable, de la douleur sans fond des familles des victimes.
Ces “journalistes” sont ni plus ni moins des charognards... La viande morte les nourrit. Mais il y a plus grave: ils attisent (en en étant totalement conscients), l'envie de passer à l'acte chez certains déséquilibrés. Ils se rendent donc partiellement responsables de la multiplication de ces actes.
Vous me direz...Il y a un public. C'est vrai. Et la bête se nourrissant de sang, et le sang coulant à flot, l'ignominie se mord la queue. La honte soit sur ces irrécupérables profiteurs de la misère qui au lieu de la traire feraient mieux de la combattre...!
A l'heure où la médecine et la psychiatrie ont cruellement besoin de professionnels et de moyens, où l'état brade tous les pans de ce que le peuple a eu tant de mal à bâtir, c'est certainement d'un AUTRE journalisme dont nous aurions besoin. D'un journalisme de combat. De combat de classes!
Mais quand la rage de manger du cadavre sera passée de mode , il sera temps de remettre dans le viseur de la mémoire tous ces sanguinaires d'aujourd'hui... qui seront à n'en pas douter, redevenus de sages petits soldats de leur nouveaux maîtres: NOUS!
Alors, nous jugerons ces individus pour leurs actes, leurs servilités, leur ignominie.
En attendant, comment font-ils pour se regarder le matin dans la glace? C'est une autre histoire...
Hasta la victoria, SIEMPRE !"