social politique histoire
Ils ont les mains blanches (1910), paroles de Montéhus, une truculente description/condamnation de nos maîtres : aristo feignant, politicard, roublard...
(à écouter sur ordi en tapant "les mains blanches, ogeret ,you tube")
Il a les mains blanches/
Les mains maquillées/
Il a les mains blanches/
Par la honte souillées/
Ca sent la paresse, c'est mou, c'est gnan-gnan/
Voilà c'qu'on appelle des mains de feignants!"
et du peuple travailleur:
Leurs mains n’sont pas blanches/
Ils ont travaillé/
Leurs mains n’sont pas blanches/
Elles sont meurtries, broyées/
Ca sent le courage, la force et l’honneur/
Voilà c’qu’on appelle des mains d’travailleurs ! »
L' antidote aux infâmes profiteurs dénoncés dans la chanson, c’est la lutte, la résistance, la grève, la révolution… c’est-à-dire une classe en mouvement, en négation de sa situation d’exploitée.
On doit dénoncer à longueur de sous-vie, tous ceux qui profitent du système capitaliste, qui le justifient, l’expliquent, le théorisent, l’encouragent, le camouflent…